samedi 7 juin 2008

Atelier de pratique du théâtre ( 14 )




Jeudi 25 octobre


29ème séance



  • Le groupe se met en cercle et fait son échauffement quotidien. La première moitié est dirigée par le metteur en scène(Sadreddin ZAHED) et dans l'autre moitié les mouvement sont proposés par les comédiens eux-mêmes.


  • Le groupe se divise en deux. Chacune des moitiés se place sur un des deux côté opposés de l'espace scénique et au milieu il y a un tambour. Chaque comédien, une fois d'un côté puis de l'autre, tour à tour, vient au milieu, tape sur le tambour et s'en va de l'autre côté. On doit garder un rythme constant, réglé sur la même impulsion, comme s'il s'agissait d'une seule personne qui tape sur le tambour.


  • Selon le même principe qu'à l'exercice précédent, on tape sur le tambour et, cette fois-ci, le rythme du battement s'accélère de plus en plus jusqu'à son maximum.


  • Les comédiens se groupent dans un petit cercle autour du tambour. On fait un premier tour où chaque comédien tape une fois sur le tambour; on garde un rythme constant et on frappe avec la même impulsion. Au second tour on fait le même exercice, mais cette fois-ci avec battements sur deux impulsions différentes.


  • Les comédiens, chassés de la salles 25 de l'Université de Paris III(Censier), se retrouvent dans l'appartement d'un des comédiens du groupe; on y poursuit le travail.


  • On travaille sur le texte de l'Homme(Entretien...). Les comédiens sont assis, et ils essaient d'imaginer la situation qui se déroule dans l'histoire et par là de situer chaque phrase à sa juste place. On continue le travail avec le même pricipe sur Macha I.


  • On travaille sur Macha II en essayant de faire des coupures inhabituelles qui n'existent pas dans le texte original.


  • Toujours sur Macha II, on divise le texte en différents thèmes. On y trouve six parties. La comédienne lit les six parties en faisant un long silence entre chacune; dans ce silence elle essaie de tout effacer - sur l'intonation, sur la façon de dire - et de recommencer avec un nouveau sentiment, une nouvelle intention, une nouvelle façon de dire.


  • On fait le même exercice avec Macha III et Macha V.


  • La comédienne qui joue Macha II lit son texte; les autres comédiens, en pleine liberté, lui posent des questions. Elle doit y répondre seulement par son texte.


  • On travaille le texte de Macha III en y ajoutant, à haute voix, les non-dits inventés par la comédienne. Dans un deuxième temps, les non-dits sont dits en silence et seul le texte sort à haute voix.

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